MEDIAS

Extrait "LA TRIBUNE" du 26 décembre 2013 de Christine Munch  
"Le fil conducteur interpelle le lecteur sur les facettes profondes de la vie. Récit fédérateur, c'est toute la pensée philosophique occidentale qui est interrogée.
A travers une écriture simple, l'auteur pose en filigrane de l'amour humain unique le grand problème de notre mode de pensée très conditionné et toujours appelé à se défier des influences du monde de la conscience, à commencer par l'instinct.
Les sentiments qui dominent ici sont scellés du sceau de l'éternité, l'amour intense comme la haine aveuglante qui va emporter le cours de plusieurs destins.
Les mots de tous les jours, à travers les lignes, portent la densité de l'être et de l'univers.
Mais le plaisir de "La Dague" est de lire un bouquin qui se lit d'une traite et où l'on se perd passionnément dans des univers qui se fondent et se confondent pour peu que l'on y croit"  
Extrait "Vaucluse matin" du 11 décembre 2013  
“La dague”, un roman à rebondissements, de l'histoire d'amour à l'enquête policière, inspiré de la vie, de paysages et de personnages pittoresques 
Extrait "LE DAUPHINE" du 5 décembre 2013 de Mademoiselle KRUCH  
"Un genre fantastique qui lui appartient. Le lecteur pourra être étonné par ce premier livre qui joue sur une petite mise en abyme et s’avère être plus prenant qu’on ne le croit. Le personnage
de Samantha, américaine, découvre dans sa nouvelle demeure vauclusienne le journal d’Isabelle Cendrars. Ce journal, sur le plan formel, n’en est pas vraiment un, mais il permet de garder le lecteur sur le
cap d’une fiction narrée. Si dans “La Dague”, le genre fantastique s’attarde à faire surface, le lecteur a cependant le temps de mieux connaître les protagonistes, attachants et parfois surréalistes. Les caractères
se rencontrent et se lient entre eux, dans un monde où le temps ne semble pas avoir d’emprise.
Mais ce temps, il existe bel et bien : il remonte la Provence jusqu’en HauteLoire et finit par rattraper Isabelle et la confronte au « passé ». C’est là que s’ouvrent les portes d’un autre monde, d’une autre dimension,
en bref, d’une autre vie. «Des univers d’où l’on ne revient jamais indemne » écrit Sigrid sur sa quatrième couverture"
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